Livres histoire du vin

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Livres – Histoire du vin

Les Hommes de la vigne et du vin : Figures célèbres et acteurs méconnus

L’histoire de la vigne et du vin est l’histoire d’une quête de la qualité. Elle ne peut être comprise pleinement qu’à travers les parcours des hommes et des femmes qui, face aux menaces pesant régulièrement sur la vigne et le vin, oeuvrent à l’amélioration des techniques de viticulture, au perfectionnement des méthodes de vinification et à une meilleure promotion du produit. Nombreux sont ceux qui écrivent cette histoire. Aux côtés des vignerons et des négociants, des scientifiques, des journalistes, des médecins, des architectes ou encore des politiques contribuent à dynamiser l’activité et l’économie de la filière vitivinicole. Le vin, produit dont le prestige n’a cessé de s’affirmer au fil des siècles, est ainsi devenu l’affaire de tous. Inspiré par les recherches présentées lors du 134e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, cet ouvrage offre une galerie de portraits d’hommes de la vigne et du vin, célèbres ou oubliés, dans toute leur diversité.

Les Vins de l’Antiquité : A la recherche des saveurs d’autrefois

Qui nous redira l’ardeur capiteuse, le bouquet enivrant du Falerne ? Depuis que le vin a été inventé il y a environ 10000 ans, il joue un rôle central dans les sociétés, boisson des rois, boisson des dieux, puis boisson du peuple. Consommation distinguée en Grèce, brutale chez les barbares du nord, abondante chez les Romains. Les auteurs antiques, Grecs ou Romains, ont relaté l’extrême diversité des crus, issus des différents terroirs, cépages et climats, révélé toutes les méthodes de vinification et de conservation des vins, l’usage des plantes et des aromates, ont même créé un premier vocabulaire de la dégustation, mais aucun vin n’a pu traverser les siècles pour nous faire apprécier ses arômes. Si l’archéologie et les textes nous apprennent beaucoup de choses sur les vins antiques, comment peut-on retrouver leurs saveurs ? Six auteurs romains (Caton, Varron, Pline, Columelle, Martial et Paladius) nous ont laissé suffisamment d’informations pour nous donner une idée précise des méthodes de production du vin à leur époque. Les connaissant, il suffit de chercher parmi les milliers de vignerons qui exercent leur art dans les pays du bassin méditerranéen, ceux dont les méthodes sont les plus approchantes, voire identiques. Pour le reste, c’est-à-dire les procédés abandonnés de nos jours, seule l’expérimentation peut apporter quelque éclairage. Dans cet ouvrage, Michel Bouvier, après avoir retrouvé un certain nombre de ces méthodes anciennes et en particulier celles faisant appel à diverses plantes utilisées par les Grecs et les Romains pour protéger, voire améliorer leurs vins, nous décrit un grand nombre d’essais réalisés dans la durée, avec souvent des résultats impressionnants. Aboutissement de longues recherches, ce livre, érudit et très vivant, animé par l’enthousiasme de la découverte, nous rappelle comment l’homme a su, à travers les siècles, préserver, en enrichissant ses connaissances sur le vin, un rapport harmonieux avec la nature.

Voyage aux pays du vin

Le vin est au coeur de nos civilisations. C’est son histoire intime, placée sous le double sceau de Noé et de Bacchus, qui est racontée ici : sous toutes ses cultures, sous toutes ses couleurs, des racines aux feuilles, toute la vie de la vigne et du vin coule au fil de ces pages, et le lecteur découvre qu’elle féconde et irrigue tous les domaines de notre société. Voici donc un Voyage aux pays du vin conçu comme une invitation à flâner parmi les terroirs, les cépages et les saveurs, mais aussi au hasard des chapitres d’une histoire nouée indissolublement à celle des hommes.
Voyage unique, car pour la première fois, à côté de cette histoire du vin, technique et économique, religieuse, littéraire et artistique, sont réunis, pour le plaisir du lecteur, des textes majeurs, rares ou inédits, allant des origines jusqu’à nos jours. Voyage qui nous mène des documents archéologiques à la Bible et au Coran, des vins égyptiens aux cépages romains, et des premiers traités de viticulture du Moyen Âge aux vins de légende de l’Europe contemporaine. Avec la même et constante passion, une foule de collaborateurs – archéologues et historiens, chercheurs, savants et écrivains, artistes et oenologues – guident le voyageur à l’intérieur de cet univers où se croisent personnages mythologiques, amateurs célèbres, confréries bachiques et se révèlent grands crus, millésimes et secrets artisanaux. Une iconographie originale ainsi qu’un dictionnaire étymologique des mots du vin largement nourri de proverbes et de citations nous permettront enfin de mieux comprendre pourquoi nous tenons tant à ce divin breuvage.

Le Vin. Nectar des dieux, génie des hommes

Cet ouvrage très richement illustré est dédié à l’histoire de la vigne et du vin dans l’Antiquité. 30 spécialistes abordent le sujet sous tous ses aspects : les origines et la mythologie du vin, la production, la consommation, le vignoble gaulois, les cépages, le vin de l’Italie romaine…

Histoire sociale et culturelle du vin

Dans ces deux nouvelles, Maupassant, maître du genre, dénonce une fois de plus les cruautés de la vie. Les buveurs gaulois aux amateurs contemporains, l’Histoire sociale et culturelle du vin retrace dans tous ses aspects la consommation du vin à travers ses acteurs, ses lieux, ses moments et ses rites. Elle distingue, selon les époques, vins de prêtres et vins de princes, vins de paysans et vins de seigneurs, vins de bourgeois et vins d’ouvriers. Faisant une large place à une anthologie des plus beaux textes sur le vin, elle est augmentée d’un dictionnaire de plus de 700 mots essentiels de la vigne et du vin, analysés dans leurs usages pluriséculaires.

L’âme du vin chante dans les bouteilles

Mille et un contenants du vin – amphores, tonneaux, bouteilles, carafes, pichets, flacons, gourdes, coupes, verres, calices – racontent ici l’histoire des hommes et du vin, de la façon dont on le conserve, dont on le transporte et dont on le boit. De l’Antiquité à nos jours, dans les lieux de culte ou à la taverne, à table ou même en marchant, cet étonnant livre d’art et de civilisation révèle une nouvelle approche du vin. A consulter et admirer sans la moindre modération !

Montesquieu : les vendanges de la liberté

Pas plus qu’il n’a voulu confiner Montaigne dans sa tour et sa librairie, ou enfermer Mauriac dans les replis du cœur et de l’âme de Thérèse, Jean Lacouture ne se résigne à confondre Montesquieu avec un livre, si grand soit-il. Ce gentilhomme d’Aquitaine, épistolier persan et familier des Grâces de Chantilly, fut aussi l’un des inventeurs de ce siècle qui, de Marivaux à Watteau, a donné au monde l’exemple d’un art de vivre hors de la pesanteur. Et ce viticulteur gascon n’a pas seulement contribué à l’épanouissement du grand bordeaux, œuvre d’art qui n’a pas fini de nous enchanter, il a su faire de cette merveille le trait d’union avec une société anglaise faite non seulement de consommateurs exigeants, mais aussi d’inventeurs d’une société plus libre. Ainsi Jean Lacouture peut-il faire valoir que, si les lois ont un « esprit » qui doit tendre à l’harmonie sociale, la vie de Montesquieu fut en quelque sorte une vendange de la liberté.

Le vin romain antique

Ce livre est fait de l’entrelacs de deux histoires. L’une est celle de l’apparition, à la fin de la République romaine, des premiers grands crus de l’Europe occidentale. La seconde, qui a aidé à mieux comprendre la première, est celle d’une rencontre entre un vigneron et des archéologues. Chaque auteur, à sa manière, a tenté de définir les grandes lignes du monde du vin dans l’Antiquité. L’un s’est intéressé plus particulièrement aux différents goûts des grands vins de cette époque comme ceux de Falerne, de Sorrente ou d’Albe, des goûts liés aux modes de fabrication que nous connaissons aujourd’hui à travers les textes d’agronomes comme Columelle ou de médecins comme Galien. L’autre a conçu une reconstitution unique au monde d’un chai antique chez un vigneron de Beaucaire dans le Gard. Sous la conduite des deux archéologues, Hervé Durand, installé sur l’emplacement d’une exploitation viticole gallo-romaine, cultive, vendange, vinifie et élève le vin comme il y a deux mille ans. Jean-Pierre Brun, spécialiste des pressoirs, auxquels il consacre un chapitre, a dirigé les travaux et André Tchernia la vinification. Enfin un bref chapitre rappelle l’histoire du commerce des vins à travers la Méditerranée jusqu’aux frontières de l’Empire.

Une histoire mondiale du vin : de l’Antiquité à nos jours

Dix mille ans de liens entre la vigne et l’homme : l’évolution du vin à travers les civilisations, les mythes, les croyances, l’économie et les techniques. Le vin et le sacré : Hugh Johnson montre le lien originel du vin et du sacré, le rôle clé des religions antiques, puis de l’Église dans l’implantation de la vigne en Occident. Le vin, enjeu économique : L’auteur met en évidence les grands courants commerciaux, les jeux du marché et de la concurrence et leur corollaire, la recherche de la qualité et la naissance des grands vins. Les mutations du goût et des savoir-faire : En véritable archéologue, Hugh Johnson recherche les différents modes de culture et procédés d’élaboration du vin à travers les âges, le goût qu’il pouvait avoir chez les Égyptiens, les Grecs et les Romains. Il évoque les chercheurs qui ont contribué à l’évolution de la vigne ou à sa survie après le phylloxéra et souligne l’apport de l’oenologie. Anciens et nouveaux mondes : Avec l’essor des vignobles de Californie ou d’Australie se pose dans l’Ancien Monde la question de l’avenir du vin : l’oenologie moderne et la technologie de pointe constituent-elles une menace pour la personnalité des grands vignobles historiques ? La France reste-t-elle un modèle universel ? Un livre qui permet à tous les amateurs de comprendre pourquoi le vin occupe tant de place dans l’histoire des civilisations.

La Loire : Un fleuve de vins

Ou l’histoire du plus grand fleuve français et celles des vignobles qu’il traverse, des hommes qui ont vécu la grande aventure de la navigation fluviale, de l’organisation du commerce et des aléas du transport. Qui se souvient que les vins de Tavel ou les Côtes Roannaises ont connu leur succès à Paris grâce à la Loire et aux canaux adjacents ? Qui se souvient que l’on produisait du vin à Aurec-sur-Loire ? Qui a lu l’histoire des confréries de mariniers et de leurs bagarres légendaires contre l’autorité politique ? La Loire a été aménagée voire détournée, mais ses rives ont conservé les traces de plusieurs siècles d’aventure humaine. Elle est le lien naturel entre le nord et le sud de la France et en a longtemps représenté le moyen de transport le plus rapide. Objet de convoitise et de craintes, elle a façonné les économies locales, régulé la vie de milliers d’êtres et véhiculé la peur et la détresse. A Saint- Rambert, à Roanne, à Pouilly-sous-Charlieu à Digoin ou à Decize… les hommes ont construit des bateaux, risqué leurs vies pour affronter les glaces et les sables et toujours vénéré Saint-Nicolas. Les vins du Languedoc, des Côtes du Rhône, des Côtes du Forez et du Roannais, les vins du Beaujolais et du sud de la Bourgogne, le Sancerre…, tous ont connu les transbordements sur les quais de la Loire, la lente remontée vers le canal de Briare et les déchargements sur les bords de la Seine avant de rejoindre les tables qui font ou détruisent les réputations.

Histoire de la vigne et du vin en France. Des origines au XIXe siècle

Un monument de savoir, ouvre de toute une vie, porté par une idée-force qui a révolutionné l’approche traditionnelle de l’histoire viticole : non, la qualité des vins de France n’est pas due à celle des terroirs, ni à celle des cépages. Elle dépend de la position géographique des vignobles par rapport aux marchés de consommation : c’est le consommateur, ses exigences, ses attentes, qui ont poussé les viticulteurs à produire des vins de qualité. Les crus classés de Bordeaux ? Ils doivent leur richesse à la stratégie commerciale des Anglais, qui ont cherché dès le XVIe siècle des produits de qualité pour un marché formé de princes et de négociants. Les grandes appellations de Bourgogne ? Elles s’expliquent par les exigences de la cour des ducs de Bourgogne, à Dijon. Le nez frais et ouvert des Côtes du Rhône méridionales, dominées par de subtiles notes épicées ? Il doit son originalité aux attentes de la cour des Papes à Avignon et à la bourgeoisie lyonnaise. A l’inverse, le Languedoc produit peu de vins de qualité car la région a très tôt connu des difficultés à l’export : ses péniches qui descendaient le Canal du Midi étaient bloquées avant Bordeaux. Pour Dion, le terroir est un  » fait social et non géologique « , une construction historique avant toute chose. Le rôle du terrain dans l’élaboration d’un grand cru ne va guère au-delà de celui de la matière dans l’élaboration d’une ouvre d’art. Une grande leçon de géographie historique. Une ode amoureuse aux terroirs des vins de France et aux hommes qui façonnèrent l’identité de nos vignobles.

Les routes du vin en France au cours des siècles

Véritable carnet de voyage, ce beau livre vous transporte sur les « routes » françaises du commerce du vin de l’époque gréco-romaine à nos jours. Ses magnifiques illustrations vous conduiront sur les mers et les océans, les fleuves et les rivières, les canaux et les chemins de fer. L’auteur vous décrit également : les conteneurs successifs : amphores, fûts, bouteilles ; la fiscalité sur le vin ; les conditions de son transport ; les marchands, les négociants, les courtiers et tous les métiers liés aux manipulations et à la livraison du vin, des chemins de halage aux quais spécialisés. Les routes parcourues par les vins reconstituent l’histoire des grandes provinces viticoles et de leur patrimoine : les monastères et les abbayes ; la batellerie ; le canal du Midi ; le quai des Chartrons à Bordeaux ou celui de Bercy à Paris ; la vallée de la Loire ; Beaune et le négoce bourguignon ; la Champagne… Le lecteur sera surpris par la découverte d’itinéraires qu’il n’imaginait pas à travers les Pyrénées, le Jura, la Bretagne ou sur le Rhin… Mais parler du transport du vin, c’est aussi parler de son économie. Outre le contexte économique du vin à travers les siècles, l’auteur présente les différentes réglementations de l’Union européenne et leurs implications. De plus, il évoque les problématiques liées à la mondialisation ainsi que le rayonnement commercial du secteur en matière d’exportations. Un vocabulaire, une bibliographie et une chronologie du domaine vitivinicole complètent un texte qui passionnera tous ceux qui s’intéressent au vin et à son histoire. Un voyage dans le temps et l’espace magnifiquement illustré par les créations de Gaétan Nocq dont le talent a su mettre en lumière toute la documentation d’époque de l’auteur.

Les métiers du vin : histoire et patrimoine

Les métiers du vin ont une histoire très ancienne et un patrimoine matériel et immatériel particulièrement riche. En suivant les différentes étapes qui mènent du raisin au palais, le livre se compose de cinq grandes parties : Ceux qui font le vin, les mains pourpres (le vigneron, le vendangeur…) ; Ceux qui préparent la venue du vin (le pépiniériste, l’agronome…) ; Les artisans autour du vin et de ses contenants (le tonnelier, le bouchonnier) ; Sans le commerce, point de vin (le négociant, le caviste…) ; Faire savoir, faire boire (le sommelier, le poète…). Les vingt-cinq métiers décrits et racontés par Pierre Citerne, largement illustrés de documents rares, constituent le panorama complet des façons dont les hommes oeuvrent à la création du vin depuis des millénaires. Une approche inédite du monde du vin.

La bouteille de vin : Histoire d’une révolution

Par leurs formes qui varient dans le temps et d’une région à l’autre, les bouteilles de vin racontent une histoire passionnante. Cet ouvrage novateur le montre avec beaucoup de science et de verve. Jamais les vins n’auraient pu vieillir à l’abri de l’air et de la lumière et jamais la personnalité des terroirs et des millésimes n’aurait pu se révéler avec autant d’éclat sans l’invention de la bouteille. La révolution date du Ier siècle de notre ère, c’est la mise au point de la canne à souffler. Au début du XVIIe siècle, les productions européennes, trop fragiles, ne peuvent servir à déplacer des liquides à longue distance. C’est alors qu’un pays importateur, l’Angleterre, réalise la bouteille en verre épais et noir, élaborée dans un four chauffé au charbon. Les mêmes Anglais découvrent au Portugal les vertus du liège qui permet un bouchage hermétique et de confier aux bouteilles du vin de qualité, de les coucher, les transporter et les conserver. Bientôt ils inventent encore le Champagne mousseux que les Français ne confectionneront qu’à partir de la Régence. Les bouteilles d’outre-Manche sont en oignon, en poire, puis cylindriques à épaules plus carrées. Les françaises, elles, sont plutôt ovoïdes, à épaules tombantes, tant en Champagne et en Bourgogne qu’à Bordeaux où, au XIXe siècle, s’impose la forme cylindrique à épaules carrées. À côté de ces deux grands modèles, certains vignobles en ont imaginé d’autres : la flûte rhénane, la fiasque paillée de Toscane, le bocksbeutel en forme de gourde de Franconie, le clavelin du Jura, la petite bouteille à col allongé du Tokaji ou du constantia sud-africain, etc.

Naissance de la vigne et du vin

Naissance de la vigne et du vin, l’ouvrage de Patrick McGovern paru en anglais sous le titre The Ancient Wine, est considéré comme le texte majeur dans ce domaine. Il raconte l’aventure spectaculaire et fascinante du vin depuis l’aube de la civilisation, il y a plus de 7 000 ans, et démontre son rôle essentiel depuis la nuit des temps dans l’art de vivre raffiné, loué à la fois par le poète et le chercheur. Patrick McGovern nous emmène dans un étonnant voyage au temps des premières expérimentations de la fabrication de ce célèbre breuvage dans les tout premiers villages du Moyen-Orient. Même avant l’essor de la civilisation, il imagine nos ancêtres hominidés en train d apprécier un « beaujolais nouveau du paléolithique ». Au cours de son voyage dans le temps, décrivant les premiers vins d Égypte, de Mésopotamie et de Terre sainte, il crée une nouvelle synthèse du caractère central du vin dans l’histoire de l’homme, qui regorge de notions tirées de l archéologie moderne, de la science et des arts. Il raconte comment le vin soulageait et guérissait les corps des êtres fatigués, enflammait l’imagination des artistes, animait les célébrations de toutes sortes, accompagnait les rois et les bourgeois dans l’au-delà et devint même l’incarnation symbolique de la vie elle-même.

Les outils de la vigne et du vin

En suivant le cycle de la vigne et du vin depuis la plantation du cep jusqu’à la dégustation, de la pioche au tire-bouchon, ce livre donne à voir et à comprendre ce que furent les métiers de la vigne, du vin et de la tonnellerie à travers les siècles. Au fil de ce beau voyage illustré de plus de 700 photographies, illustrations et documents d’archives, le lecteur apprendra également à mieux connaître l’histoire du vin, sa technique, ses péripéties et toutes ses traditions.

Le Vin et le Sacré : A l’usage des hédonistes, croyants et libres-penseurs

De l’Antiquité aux grandes religions monothéistes, puis sous le prisme des philosophies, la place du vin dans les civilisations et les textes est soigneusement étudiée. Le plan de l’ouvrage retrace cet itinéraire passionnant : Les liaisons sacrées : le vin des dieux de l’Antiquité. Ce que nous partageons : La Bible, la vigne et le vin. Le vin sanctifié : le vin dans le rituel juif. Ceci est mon sang : le vin dans le rituel chrétien. Au nom de Dieu et du vin : les moines et le vin. Au cœur du paradis d’Allah : le vin et l’Islam. Entre tolérance et interdiction : le vin dans les régions d’Extrême-Orient. Par-delà le bien et le mal : ivresse sacrée et vin mystique.

La Beauté du geste. Objets de la vigne et du vin en Valais

Cet ouvrage présente l’histoire générale de la culture matérielle de la vigne et du vin en Valais dans le cadre de la viticulture domestique et commerciale en combinant une approche historique, technique et ethnographique. Il se présente comme une chaîne opératoire qui va de la plantation de la vigne à la consommation du vin dans le courant du 20e et du début du 21e siècle en Valais. Les objets y sont au centre du discours. Ils sont le point de départ pour explorer des pratiques. Partir de l’objet concret usuel pour parler du passé et du présent, c’est parier que le social se révèle plus véritablement dans le quotidien que dans l’exceptionnel. Ainsi, les témoins rencontrés tout au long de cet ouvrage sont interrogés sur leur quotidien, sur des gestes simples qui se répètent d’année en année. Ce livre parle d’une évolution des outils dans les multiples nuances de couleur, tant la configuration d’une période est complexe, tant les êtres humains sont paradoxaux dans leur savoir et savent à chaque époque, être innovants, conservateurs et ingénieux.

Une histoire du vin

Le vin, une histoire millénaire dont nous sommes les héritiers. Dans une grande synthèse qui s’étend de la période antique à nos jours, Didier Nourrisson, historien spécialiste de la nourriture et de la gastronomie, dresse une histoire du vin vivante et colorée. Plus qu’un simple produit fermenté issu du raisin, le vin est un révélateur de la société et de son temps. Il tisse les liens entre les hommes, reconstitue un marqueur social, un enjeu économique, culturel et, plus récemment, de santé publique. Suivant une démarche qui s’appuie sur le regard du consommateur et non sur celui du producteur – comme on le ferait plus traditionnellement –, Didier Nourrisson suit les évolutions des mœurs et les modifications du vin lui-même : car le vin antique et ses modes de consommation n’ont rien à voir avec le vin moderne. Grace à son histoire du vin, Didier Nourrisson éclaire d’une plume enlevée un champ historiographique encore en friche.

Banquets, gastronomie et politique dans les villes de province XIVe-XXe siècles

Cet ouvrage, issu d’une journée d’études, a pour ambition, à travers une rencontre inédite entre archivistes et historiens de plusieurs périodes venus de Tours, Montpellier, Grenoble, Dijon, Angers et Bordeaux, de faire un état des lieux des fonds disponibles et d’esquisser des pistes de recherche sur les banquets et les présents alimentaires qui rythment la vie politique des villes de province en France depuis le Moyen Age. Cette étude offre de riches perspectives que l’on peut saisir ici à travers la diversité des sources, des territoires et des problématiques abordées. Par la présentation de fonds d’archives parfois méconnus, de sources, de méthodes et d’exemples variés, les différents rédacteurs nous entraînent de festins en banquets, des tables royales aux tables républicaines… Démontrant route la pertinence de recourir aux archives produites par les institutions urbaines, ils incitent chercheurs et professionnels à se plonger plus attentivement dans ces fonds aux mille ressources afin d’apporter un regard neuf sur les pratiques alimentaires, la gastronomie et la politique en France du XIVe au XXe siècle.

La vigne et le vin en France, de l’Antiquité au XXe siècle

La France est souvent considérée comme le pays où sont produits les meilleurs vins, mais comment s’est imposée la culture de la vigne dans notre pays depuis les Romains jusqu’à nos appellations actuelles? Comment nos régions ont créé des vignobles différents aux particularités aussi diverses? C’est ce que nous fait découvrir ce passionnant ouvrage en nous racontant les relations particulières qu’a entretenues notre société avec les vignes depuis les origines de son exploitation en Gaule jusqu’à la création de la viticulture contemporaine au siècle dernier. Il prend également en compte les aspects climatiques et géographiques qui ont eu une influence considérable sur la culture viticole. L’auteur nous explique la manière dont cette culture a survécu aux crises, notamment celle du phylloxéra, qui a détruit la quasi-totalité du vignoble français et fait naître la viticulture moderne. Au-delà de l’histoire du vin, c’est l’histoire du peuple français tout entier qui s éclaire, car, comme le dit le fabuliste grec Babrius : « L’histoire du vin, c’est l’histoire du monde. »

Histoire des vins de France

Les vignobles français, aussi divers que variés, possèdent chacun une histoire propre. L’ouvrage développe au fil des chapitres la rencontre de l’homme avec la terre, de son travail journalier pour en tirer le meilleur profit, de son destin face aux forces naturelles, de l’origine de la culture de la vigne jusqu’à aujourd’hui. Ouvrage de référence nécessaire à qui veut parfaitement appréhender toute la subtilité des breuvages appréciés que ses pulsions gustatives lui auront fait choisir. Le plaisir du vin passe par la vue, par l’odorat, par le bouquet, par l’arôme, par la suave ingestion des lèvres au palais, mais aussi par. la lecture. Le texte et la magistrale iconographie qui l’illustre nous en apportent la preuve.

Les secrets du vin

Comment les papes d’Avignon firent-ils jadis la promotion des vignes des côtes du Rhône ? Pourquoi la cave de l’impératrice Joséphine comptait-elle tant de vins du Médoc ? Les vins produits à l’étranger, tels ceux des Canaries vénérés par George Washington, ou ceux du Caucase dont Alexandre Dumas vantait la qualité, étaient-ils appréciés en France ? Le vin, c’est aussi une histoire de paysage, de terre et de soleil, de voyages entre les continents, avec le roulis sur les mers, la batellerie et le charroi des tonneaux sur les routes caillouteuses. Yves-Marie Bercé nous apprend que le goût est une affaire de modes qui se transforment au gré des politiques et des rivalités entre puissances. Les secrets du vin se dévoilent enfin sur la table des rois et dans l’atmosphère des cabarets, de Londres à Paris, dans les ports de Boston ou de Buenos Aires. Fourmillant d’histoires et d’anecdotes, cet ouvrage enchantera le palais et l’imaginaire des amateurs comme des néophytes.

Histoire(s) de vin(s) : 100 contes et légendes de nos régions

La France est le pays du bon vin et de l’esprit qu’il engendre. De ses origines mystérieuses aux fables qui en font son histoire, l’univers envoûtant du vin est une source inépuisable de mythes, contes et légendes. Roger Maudhuy aime ces histoires véhiculées par la littérature orale, il aime les collecter sur le terrain, puis les raconter avec la rigueur de l’historien et l’inspiration du conteur. Histoires inédites, toujours véridiques, toujours savoureuses, elles nous entraînent dans une folle vendange culturelle et spirituelle autour du vin. C’est une invitation au grand banquet de nos régions. Tantôt magiques ou ésotériques, comiques ou tragiques, angéliques ou diaboliques, ce sont avant tout de belles histoires à consommer sans modération.

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